Tu en as marre de te lever chaque matin et de travailler pour une société qui n’est pas la tienne ? Te voir imposer des horaires, des obligations diverses et subir les réflexions (avouons-le, pas toujours valorisantes) de ton boss ?
Et si tu choisissais de devenir ton propre patron ? Facile à dire oui, mais pas impossible à faire.
Allez, rien que pour toi, voici quelques conseils pour créer son entreprise en 2020 et caresser le doux rêve de la liberté !
Comment trouver une idée d’entreprise ?
Commençons par le commencement. Avant de créer son entreprise, encore faut-il avoir une idée d’entreprise (oui, ça paraît logique) !
L’imagination n’a jamais été ton fort ? Rassure-toi, il existe quelques astuces pour trouver rapidement une idée qui marche.
Tout d’abord, pense à cibler tes attentes et tes envies. As-tu des passions ? Que rêverais-tu de faire ? À l’inverse, que ne souhaites-tu absolument pas faire ? Créer son entreprise c’est bien, mais aimer son travail c’est encore mieux. Alors, avant de te lancer dans la folle aventure de l’entrepreneuriat, garde à l’esprit que le but de ce changement de vie est d’être plus épanoui. Oui, c’est peut-être difficile à croire, mais je t’assure qu’il est tout à fait possible d’être heureux en travaillant !
Tu n’as pas de passion particulière ? Ou rien qui te semblerait judicieux d’exploiter ? Je te conseille de rendre visite à ton cher ami Google pour cibler les secteurs porteurs en 2020 – que je développerai plus loin dans l’article. Une idée d’entreprise n’est pas forcément unique. Certains secteurs sont en pleine évolution et offrent donc de nombreuses possibilités. Pour faire court, tu utilises une idée qui marche et tu la reproduis à ta manière et/ou dans une autre localisation (copier une idée, ça peut payer) … et si possible, en mieux.
Prends l’exemple de Facebook : les réseaux sociaux ça existait avant (MySpace par exemple, ou Hi5). Mais ils ont fait bien mieux, plus ergonomique, et plus facile à utiliser….
Une autre solution reste de s’inspirer d’une idée d’entreprise qui fonctionne à l’étranger et de la reproduire en France. En plus, on reconnaît souvent la France en retard par rapport à ses voisins européens et internationaux. Alors, pourquoi ne pas piquer une idée utile pour faire avancer les choses ?
Si tu es courageux et que tu rêves de trouver une idée innovante, alors il existe un moyen ultra simple pour y parvenir. Pense à chacune de tes journées et demande-toi si tu n’as pas rencontré un obstacle ou une difficulté à un moment donné. Serait-il possible d’y remédier ? Pourrais-tu trouver une idée qui puisse faciliter ton quotidien ? Si cette idée peut potentiellement t’être utile, sans doute le serait-elle également pour de nombreuses autres personnes.
Une étude de marché, c’est quoi?
Réaliser une étude de marché est une étape indispensable à la création d’entreprise (dynamique-mag). Celle-ci, comme son nom l’indique, te permet d’étudier le marché de ta future entreprise.
Le but est de tout savoir sur le secteur de ton entreprise : tendances, évolution du marché, cible, concurrence… En effet, c’est grâce à ces éléments que tu seras en mesure de proposer une offre qui répondra à une véritable demande. En d’autres termes, cette étude te permet de limiter les risques.
Quand tu réalises ton étude de marché, fais attention à ne pas oublier les étapes importantes. Voici les points que je te conseille de développer :
La taille du marché
Il est important que tu chiffres ton secteur. Si tu souhaites ouvrir un restaurant par exemple, tu devras te renseigner sur le nombre de restaurants ouverts au cours des dernières années sur la zone géographique visée.
L’évolution du marché
Une fois les chiffres en ta connaissance, tu dois analyser l’évolution de ces derniers. Le marché est-il en augmentation ou au contraire, semble-t-il se réduire ? As-tu noté des périodes difficiles ? Si oui, pourquoi ? Essaye de te poser un maximum de questions afin d’éviter les mauvaises surprises. Un marché en pleine évolution est a priori positif pour la création d’entreprise.
Les tendances/concepts
Avant de monter ton entreprise, tu dois connaître les tendances du moment. Ton objectif ? Créer une entreprise moderne qui défend un concept qui marche. Par exemple, en restant sur notre exemple de restauration, tu pourras énumérer : la bistronomie, la cuisine du terroir, la restauration rapide, le bio, les restaurants végétariens…
La cible
Pour réaliser ton étude de marché, tu dois également analyser ta cible : que recherche-t-elle ? Quelles sont ses habitudes ? Quel est son budget ? Tu dois tout connaître sur tes potentiels futurs clients !
La concurrence
Enfin, il est primordial d’analyser la concurrence : combien d’entreprises de ton secteur se situent dans ta zone géographique ? Quels tarifs proposent-elles ? Penses-tu pouvoir proposer une idée innovante pour te démarquer ?
Comment faire un business plan pour vérifier la faisabilité d’un projet ?
Dis Nico, c’est quoi un business plan ?
Après avoir réalisé ton étude de marché, tu devras t’attaquer à la réalisation d’un business plan. Un business plan est un dossier qui permet de prouver la rentabilité de ton affaire (Les Echos). C’est à l’aide de ce document que tu vas pouvoir convaincre tes futurs investisseurs. Hé oui, il ne faut pas rêver, créer son entreprise, ça demande du boulot !
Quelques conseils
Il faut que tu gardes en tête qu’un business plan est un outil pour convaincre. Ton document doit donc être facile à lire et détaillé. Essaye d’être clair et surtout structuré. Enfin, n’hésite pas à te faire aider par un professionnel et/ou relire par plusieurs personnes.
Les différentes étapes
Allez, dans un élan de générosité, je te présente les étapes essentielles qui devront constituer ton business plan :
Présentation
Avant toute chose, commence par parler de toi. Aussi extraordinaire que tu puisses être, il ne s’agit pas de réaliser ton éloge. Tu dois tout simplement te présenter, toi et ton entreprise. As-tu des associés ? Quels sont vos parcours respectifs ? Quelle entreprise souhaites-tu créer ? Pourquoi ? Quel choix juridique as-tu fait ?
Description des produits/services
Après t’être présenté avec brio, tu pourras te focaliser sur le cœur de ton entreprise : les produits et/ou services proposés. On ne te demande pas un roman alors essaye de synthétiser au maximum.
Étude de marché
Ton étude de marché te sera utile pour prouver que tu as analysé le marché et que ton entreprise répond à un besoin réel existant (d’où l’importance de suivre les conseils que je t’ai donnés !).
Business model
Le business model, souvent confondu à tort avec le business plan, est l’élément principal de ce dernier. Ce document répond à la question que tout le monde se pose : comment gagner de l’argent ? Ton but est donc de démontrer que tu as pensé à tout (ou presque) pour que ton business rapporte gros. Tu devras donc présenter ta stratégie commerciale et marketing pour y parvenir.
Éléments financiers
Enfin, tu dois apporter les éléments financiers qui prouveront que ton entreprise sera rentable : bilan prévisionnel, compte de résultat, plan de financement, trésorerie… Tout doit être passé en revue ! Hélas, il ne faut pas rêver, personne ne te fera confiance aveuglément !
De l’argent, c’est important pour créer son entreprise.
Armé de ton business plan, tu es maintenant en mesure de séduire les organismes financiers !
Prêts bancaires
La première chose que je te conseille de faire est de te diriger vers ta banque. Après tout, si tu ne souffres pas de fièvre acheteuse et que tu as toujours bien géré tes finances, ta banque est sans doute la mieux placée pour te faire confiance. Attention, consulte bien les conditions des prêts qui te seront proposés avant de prendre une décision hâtive !
Micro crédits
Si tu disposes de petits moyens, rassure-toi, il existe des prêts accessibles aux personnes ayant des faibles revenus. Généralement entre 300 et 5000 euros, ces petits prêts te permettent de profiter d’une aide financière sans t’endetter.
Crowdfunding
Le crowdfunding correspond à un financement participatif. Si internet était pour toi un moyen de poster tes photos foodies sur instagram, tu vas maintenant pouvoir l’utiliser de manière plus utile. En t’inscrivant sur une plateforme, tu fais parler de toi et tu permets à des personnes (particuliers ou entreprises) de financer ton projet (plus d’infos sur cet article de ladepeche.fr). En échange, ces personnes peuvent, dans certains cas, devenir actionnaires.
On parlait de crowdfunding notamment dans cet article.
Love money
lLe love money, littéralement l’argent de l’amour, permet à tes proches d’investir dans ton entreprise (dynamique-mag en parle très bien). En échange de quoi, ils deviennent actionnaires. Qu’on se le dise, mêler argent et famille n’est pas toujours facile. Alors, réfléchis bien avant de te lancer dans une telle aventure !
Business Angels
Tu souhaites créer une entreprise innovante ? Alors tu auras peut-être la chance de te faire repérer par les Business Angels. Anciens chefs d’entreprise ou cadres supérieurs, ils investissent régulièrement de grosses sommes d’argent au profit de jeunes entreprises innovantes (actubusinessangels). Si tu penses avoir une idée de génie, c’est donc le moment de te lancer et de croiser les doigts !
Quelles sont les différentes aides à la création d’entreprise ?
Tu as de la chance, pour monter son entreprise, quelques aides existent. Notamment pour inciter les demandeurs d’emploi à se lancer, ou les plus jeunes.
ACCRE
L’ACCRE est une aide aux demandeurs d’emploi créant ou reprenant une entreprise. Grâce à cette aide, tu vas pouvoir profiter :
- D’une exonération temporaire des charges.
- D’un accompagnement.
Si tu souhaites savoir si tu remplis les conditions requises pour bénéficier de cette aide, je t’invite à regarder sur le site du service public.
NACRE
Le NACRE, Nouvel Accompagnement pour la Création ou la Reprise d’Entreprise, permet aux demandeurs d’emploi bénéficiaires de l’ACCRE de profiter d’un accompagnement durant 3 ans. Tu découvriras les détails sur le site du Service Public.
ARE
Si tu profites d’une indemnisation Pôle Emploi, sache que tu peux tout à fait créer une entreprise tout en continuant de profiter des allocations d’aide au retour à l’emploi (ARE). Cela fonctionne évidemment (ou malheureusement) dans une certaine limite (pole-emploi).
ARCE
Tu souhaites recevoir une partie de ton indemnisation ? Sache que l’ARCE, Aide à la Reprise ou à la Création d’Entreprise, te permet de percevoir 45% de tes allocations chômage en deux fois.
À toi de réfléchir à ce qui serait le plus avantageux : l’ARE ou l’ARCE ? Et oui, on peut pas tout avoir, tu l’as compris
Le congé pour création d’entreprise
On y pense rarement mais si tu es salarié, tu as le droit de prendre congé pendant un an pour créer ta propre entreprise. Comme une année sabbatique, donc : tu es censé récupérer ton poste au retour…
Et si ton entreprise s’est bien lancée, tu n’es pas obligé de rentrer évidemment.
Le crédit-impôt recherche (CIR) et le statut Jeune Entreprise Innovante (JEI)
Ses deux aides pourront t’être données si ton entreprise est innovante – ce qui concrètement veut dire que tu vas avoir des dépenses de R&D (Recherche et Développement).
Les aides pour les femmes
Les inégalités hommes-femmes existent malheureusement toujours en 2020, mais heureusement, il y a des aides pour encourager l’entreprenariat au féminin et ainsi favoriser la parité. Ça peut vraiment aider…
Pour en savoir plus, va voir sur Legalstart.
Le choix du Statut juridique
Pour créer une entreprise, tu dois choisir un statut juridique. Les divers statuts présentent des avantages et des inconvénients différents. Tu dois donc minutieusement peser le pour et le contre de chacun d’entre eux avant de prendre une décision.
Micro-entrepreneur
La micro-entreprise, anciennement auto-entreprise, est idéale si tu souhaites lancer une petite affaire sans trop de contraintes.
L’inconvénient majeur qui était la limite des plafonds du chiffre d’affaires (33100 euros par ans pour les prestations de services contre 82800 pour les commerçants) ne semble plus en être un : le président Macron a affirmé sa volonté de doubler les plafonds pour 2018 (lemonde).
Les avantages sont multiples : comptabilité allégée (factures, cahier de recettes…), exonération de TVA, paiement des charges selon ton chiffre d’affaires… Ce statut est parfait pour débuter !
En plus, ça ne prend que quelques minutes via ce portail en ligne.
Ce n’est cependant pas l’idéal si tu vas avoir beaucoup de dépenses professionnelles, car celles-ci ne sont pas déductibles.
SARL/EURL ou SAS/SASU ?
L’EURL, entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée et la SASU, société par action simplifiée unipersonnelle, sont les versions unipersonnelles respectives de la SARL et la SAS. Oui, mais encore ? La SARL, Société à Responsabilité Limitée, et la SAS, Société par Action Simplifiée, sont les des formes juridiques les plus convoitées par les entrepreneurs qui ont plusieurs associés.
Si tu n’y comprends rien, rassure-toi, je te propose de t’éclaircir rapidement.
Il est déjà important de savoir que ces deux formes juridiques présentent plusieurs points communs :
- La responsabilité est limitée. Cela signifie qu’en cas de problème (même si je suis sûre que te concernant, ça n’arrivera pas), tes créanciers ne pourront pas se rembourser sur tes biens personnels. Tu l’auras compris, c’est un avantage plutôt important qui te permet de te protéger.
- Le capital est fixé librement.
- Les deux sont soumis à l’Impôt sur les Sociétés, mais peuvent opter pour l’Impôt sur le Revenu dans certains cas.
Effectivement, si ces deux formes se ressemblent, cela ne va pas t’aider à choisir ! Ne t’inquiète pas, elles présentent également quelques différences qui vont te permettre de te décider (juritravail) :
- Une SARL peut avoir plusieurs gérants alors qu’une SAS n’a qu’un seul dirigeant, appelé président. Si tu souhaites être seul aux commandes (par choix ou par ego), tu sais donc vers qui te tourner !
- Le statut social du dirigeant (peut-être toi) n’est pas le même dans les deux formes juridiques. Dans une SARL, tu es un travailleur indépendant alors que dans une SAS, tu es assimilé salarié. Le deuxième est donc bien plus avantageux !
- Les cotisations sociales sont plus élevées dans une SAS. Bah oui, il ne faut pas rêver, la bonne couverture sociale, ça se paye !
- La SARL est plus encadrée qu’une SAS.
Les formalités de création d’entreprise
Choix du statut
La première formalité de création d’entreprise concerne le choix du statut. Alors, micro-entreprise, EURL, SASU, SARL, SAS… Il est temps de faire ton choix ! Ce dernier aura un impact direct et déterminant sur le reste de ton aventure entrepreneuriale.
Le nom d’entreprise
Moment difficile néanmoins crucial : la dénomination sociale, autrement dit, ton nom d’entreprise. Pas toujours évident de trouver un nom cool qui ne soit pas déjà utilisé par un concurrent. Alors, avant de te décider, vérifie auprès de l’institut national de la propriété intellectuelle (INPI). Si tu as un choisi de créer une micro-entreprise, tu auras un souci en moins : le nom de l’entreprise, c’est le tien ! Si tu as un nom difficile à porter, c’est un autre problème !
Le siège social
Lorsque tu crées ton entreprise, tu dois la domicilier : local professionnel, boîte postale, habitation personnelle…
La rédaction des statuts
La partie la plus complexe est sans aucun doute celle de la rédaction des statuts (si tu as une société personnelle, tu as la chance de l’éviter). Les statuts vont regrouper toutes les informations et les modalités de l’entreprise. Même s’il existe des modèles types, tous les associés doivent se mettre d’accord (et ça, c’est loin d’être toujours évident).
Pour éviter les erreurs, je te conseille de te rapprocher d’un professionnel : avocat, juriste, expert-comptable…
Le dépôt des fonds
Si tu décides de créer une entreprise de type SARL ou SAS, alors tu devras créer un capital social. Ce dernier correspond aux apports de tous les associés réunis.
La publication d’une annonce légale
Tu es tenu de publier une annonce concernant la création de ton entreprise dans un journal d’annonces légales. Il ne s’agit pas de faire un roman, contente-toi de mentionner les éléments obligatoires.
La transmission du dossier au CFE
Enfin, tu devras transmettre ton dossier de création d’entreprise au Centre de Formalités des Entreprises. C’est ce document qui va permettre ton immatriculation. Il devra contenir tous les éléments importants : formulaire d’immatriculation, statuts signés, attestation de dépôt de fonds, copie de la publication dans le journal d’annonces légales…
Comment tester son projet tout en limitant les risques ?
Avant de te lancer, d’acheter des meubles Ludstørm pour ton bureau et de mettre toutes tes économies dans ton projet, tu peux peut-être essayer de le tester … Non ?
Voici quelques solutions :
Incubateurs
Les incubateurs permettent aux jeunes entreprises innovantes au fort potentiel de croissance de se développer grâce à leurs services. Si tu as la chance de pouvoir être concerné, tu pourras profiter (letudiant) :
- D’un hébergement à petit prix. Bonjour les économies !
- De conseils de professionnels. C’est toujours bon à prendre !
- D’un réseau professionnel. Quoi de mieux pour booster ton entreprise ?
Couveuse d’entreprises
La couveuse d’entreprises te permet de tester ton entreprise pendant 1 à 3 ans. Tout en gardant ton statut précédent, tu profites d’un contrat d’appui au projet d’entreprise (CAPE) qui te donne un numéro de siret. Du coup, tu peux facturer sans pour autant avoir pris des risques considérables. S’il paraît que l’on ne regrette jamais les coups de folie dans une vie, faire le choix d’être raisonnable s’avère parfois plus judicieux.
En plus, tu as la chance, comme pour les incubateurs, de profiter d’un suivi personnalisé, et d’un accès au réseau professionnel. En contrepartie, tu n’auras qu’à reverser une contribution correspondant à 5% de ton chiffre d’affaires. Bref, tu l’auras compris : ça vaut le coup !
Pépinières
Les pépinières d’entreprises sont des structures d’accueil qui proposent des locaux, des équipements et des services à petit prix. Le principe ? Partager les lieux pour réduire les coûts. Du coup, tu profites de nombreux avantages tout en faisant des rencontres professionnelles enrichissantes (dynamique-mag). Que demander de plus ?
Les secteurs d’activité porteurs en 2020 pour monter son entreprise
Tu es à court d’inspiration ? Ou tu es simplement envahi d’une flémingite aiguë qui t’empêche de te creuser les méninges ? Allez, voici rien que pour toi, quelques secteurs d’activité porteurs en 2020 qui pourraient t’inspirer !
- Le e-commerce : Ce n’est un secret pour personne, aujourd’hui on déserte les magasins pour faire son shopping sur internet (lsa-conso). Si tu as pour objectif de devenir commerçant, créer un eshop peut donc être une idée judicieuse. En plus, cela réduit ton nombre de contraintes : local, personnel d’accueil… Tu en découvriras plus sur cet article au sujet du dropshipping.
- Les objets connectés : Tu en es conscient, internet a envahi notre quotidien : jeux connectés, applications en tout genre, domotique… Tout est aujourd’hui relié à ton smartphone. Se lancer dans un business d’avenir peut donc être payant !
- Les seniors : La population vieillit de plus en plus. Résultat ? Les seniors deviennent une cible intéressante (leparisien). Si s’occuper de papi n’est pas forcément glamour, ça peut cependant devenir lucratif. Et puis papi, c’est sans doute toi dans quelques années. Alors, pourquoi ne pas créer une entreprise pour leur faciliter le quotidien ?
- Les drones : Ces petits objets se développent de façon exponentielle. Autrefois seulement divertissants, ils apparaissent aujourd’hui surtout pratiques aux yeux de nombreux professionnels. Ce marché, destiné à s’étendre encore dans les années à venir, est donc à suivre de près (bpifrance) !
- Les animaux : Le secteur des animaux ne cesse de s’accroître au fil des années. Aussi incroyable (ou absurde) que cela puisse paraître, les gens sont aujourd’hui prêts à débourser des sommes astronomiques pour leur petite boule de poil (france3). Ça serait bête de ne pas en profiter !
- Le bio : ça ne te surprendra pas, mais le bio c’est de plus en plus tendance. Déjà, c’est à la mode de manger bio. Mais en plus, évidemment, c’est bon pour la santé et pour l’environnement. Alors si tu es dans cet esprit là, tu peux créer un business dans ce secteur-là. En plus, le bio ça englobe vraiment tout, pas que la nourriture. L’un de mes lecteurs a par exemple lancé il y a quelques années des huiles bios. Tu peux aussi t’intéresser aux cosmétiques bios, à l’alimentation bio pour animaux (oui, ça existe, hier soir je suis passé devant une boutique bio pour animaux…)…
- La création de contenus en réalité virtuelle et augmentée : apparemment c’est le futur. On portera tous un casque (ou une lentille de contact, parce qu’un casque c’est pas super pratique mine de rien) qui nous donnera des infos en plus sur notre environnement. Même si pour l’instant quand on pense réalité virtuelle on pense surtout aux jeux vidéos…
Bon, si tu es allé jusqu’au bout de l’article, je crois qu’on peut le dire : tu es prêt à te lancer et à monter ton entreprise ! Alors, tu attends quoi ?
Si tu as besoin de motivation, je te recommande cet article sur le pourquoi des choses.
Si c’est le temps qui te manque, je te donne plein de conseils pour trouver du temps libre.
Et si l’argent te manque, rassure-toi. Sur ce blog tu trouveras plein d’idées pour te faire un extra.
Enfin, si tu n’es pas sûr de vouloir te lancer dans une création d’entreprise, peut-être que tu devrais élargir ta réflexion et lire ce dossier complet sur la reconversion professionnelle.
C’est à toi maintenant. Tu connais quelqu’un qui a réussi à créer son entreprise ? Et toi tu l’as fait? Quelles ont été tes plus grandes difficultés ?
26 mars 2018
Le début de votre billet pourrait être jugé caricatural (le boss qui fait des réflexions pas toujours valorisantes ; heureusement il existe aussi des managers-leaders dans les organisations sinon tout le monde courrait se mettre à son compte…), mais vous synthétisez bien ce qu’il faut pour se lancer. On rappellera l’importance du business plan qui, au-delà de démontrer la rentabilité d’un projet, permet aux créanciers et partenaires d’identifier la solvabilité long terme et la capacité de l’affaire à générer le cash-flow nécessaire à son développement.
26 mars 2018
Bonjour « Hôtel Hospitalier »….
Ça semble caricatural, malheureusement c’est la réalité de beaucoup de salariés. Entre le sexisme, le rabaissement et les luttes internes « politiques », le monde de l’entreprise est loin d’être vraiment sexy. Et c’est pire si la tailel de la structure augmente. Je travaille maintenant à mon compte mais si je devais un jour retourner en entreprise, j’espère que ce sera dans une petite structure. Ah, et j’espère surtout un jour monter ma propre entreprise, avec un souci de respect des personnes avant tout….
Nicolas.